J’ose à peine t’ôter ton habit à rayures
Poisseux, il te colle à la peau, se fissure…
Te toucher me répugne, tes remugles obsédants
Reculent les plaisirs que tu donnes aux amants.
Mais quand tu t’offres nu à ma bouche bouffonne
J’oublie ma répulsion et d’un coup je t’affonne.
Paru dans…
non publié
En savoir plus, dans wallonica.org...
Infos qualité…
Statut : validé | mode d’édition : partage, édition et iconographie | source : don de l'auteur | contributeur : Patrick Thonart | crédits illustrations : © rtbf.be.
Lire et dire plus en Walllonie-Bruxelles…
- HENRARD, Agnès (né en 1959) : "Si tu me troues les ailes…" (1992)
- PERIER, Odilon-Jean (1901–1928) : "Je t'offre un verre d'eau glacée" (1925)
- AVENTIN, Christine (née en 1975) : "Des jours longs comme un siècle" (2021)
- MELAGE (12) : "Ceux qui sont morts" (1930)
- THONART, Patrick (né en 1961) : "La larme de l’Ours l’avait trahi…" (2014)
- THONART, Patrick (né en 1961) : "Le merle" (2025)
- THONART, Patrick (né en 1961) : "Tous deux se regardaient…" (2019)
- MELAGE (07) : "Les Gueux" (1930)
- YOURCENAR, Marguerite (1903–1987) : "Vous ne saurez jamais que votre âme voyage" (1984)
- JACQMIN, François (1929–1992) : "D’aucuns…" (1990)

