J’ose à peine t’ôter ton habit à rayures
Poisseux, il te colle à la peau, se fissure…
Te toucher me répugne, tes remugles obsédants
Reculent les plaisirs que tu donnes aux amants.
Mais quand tu t’offres nu à ma bouche bouffonne
J’oublie ma répulsion et d’un coup je t’affonne.
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Statut : validé | mode d’édition : partage, édition et iconographie | source : don de l'auteur | contributeur : Patrick Thonart | crédits illustrations : © rtbf.be.
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